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(Ce texte a été écrit par M.COLIN)

Quel doit être l’objectif principal  de votre professeur de piano ?

« C’est de répondre à ce que  vous souhaitez apprendre »

Si vous rêvez apprendre quelque chose et si vous demandez à quelqu’un de vous l’enseigner, en premier, ce que vous espérez c’est que cette personne vous apporte des vraies réponses pour réaliser votre rêve.

Si vous devez payer cette personne, vous espérez que vous ne perdrez pas votre argent et quelque part que vous n’aurez pas perdu également votre temps ou encore votre motivation à continuer.
Concernant l’apprentissage du piano, les seuls repères pour un débutant c’est soit la réputation du professeur, soit qu’il a vu le professeur jouer en démonstration ou durant l’entretien, soit qu’il est intéressé par le programme proposé par celui-ci.

Qui est le plus important le musicien qui vous enseigne ou vous-mêmes ?
Est-ce que le plus important, c’est qu’il vous impressionne ou qu’il sache vous transmettre son savoir ?
Si vous réfléchissez bien, c’est bien vous la personne la plus importante, qu’en pensez-vous ?

Pourquoi se poser ce genre de question ?

Parce que le premier réflexe, si vous voyez par exemple un bon pianiste jouer du jazz, vous allez penser  » Ah si ce pianiste m’enseigne le jazz, je serai un super pianiste jazz ! »
Cette réaction est tout à fait normale et je vous ferai une confidence cela m’est arrivé plus d’une fois personnellement quand j’étais jeune pianiste et que je cherchais par tous le moyens à progresser dans le style jazz. En effet, j’ai toujours aimé progresser aussi bien dans le classique, le blues, le jazz, la variété et le style « piano bar ».
Et pour revenir au fait « d’être impressionné par un pianiste jazz » cela ne suffit pas pour avoir la certitude qu’il saura bien vous enseigner le jazz.
En effet, la  réalité n’est pas tout à fait comme ceci et spécialement dans ce style où nombreux musiciens improvisent en se créant des astuces très personnelles. Parfois, ils ne connaissent pas réellement les harmonies qu’ils utilisent ou le type de gammes et parfois même ils suivent des suites harmoniques en adaptant des enrichissements de bonnes qualités mais sans savoir pourquoi cela sonne bien et enfin, parfois ils ne peuvent pas suivre la mélodie écrite sur la partition. Cela n’enlève en rien à leur qualité de musicien mais s’ils sont dans ce cas, ils sont assez embarrassés pour bien vous enseigner le jazz.
Alors les musiciens de jazz ne sont pas tous ignorants du solfège mais voici l’exemple type de l’erreur des apparences quand on cherche un musicien pour nous enseigner le piano.
On le regarde jouer et on pense qu’il peut nous amener à son niveau alors qu’en fait qu’il a mémorisé par expérience de nombreux schémas mais qu’ils ne peut pas vraiment vous les expliquer.

Il ne suffit pas non plus d’être un bon interprète dans le style « piano classique »

Dans le style classique c’est différent, la musique est écrite et l’enseignant, normalement sais  bien lire la musique. Mais je vais vous surprendre « lire et maîtriser des bonnes techniques de déchiffrages » c’est très différent.
Pour être efficace en déchiffrage de partitions j’en parle dans d’autres chapitres, il faut maîtriser certaines étapes, remarquer des points très importants dans la partition au niveau des mouvements, reconnaître au niveau pianistique certaines techniques, avoir une bonne coordination, une bonne connaissance rythmique, une vraie expérience au niveau des doigtés etc. Il y a encore pas mal de qualités à développer, comme comprendre le style du compositeur etc.
Vous pouvez constater que l’on est assez  loin du fait de se cantonner seulement à la connaissance du solfège comme souvent c’est expliqué ou enseigné.
Alors pour progresser dans le style classique, il faut une bonne préparation sans obligatoirement ne faire que du classique ce qui paraît étonnant et je dirais même que je vous conseille d’acquérir un maximum d’expérience en explorant un maximum de styles de musiques car en fait chaque style vous apporte des bases naturelles au niveau rythmique, oreille musicale, mouvements, doigtés etc. tous ces points sont une vraie richesse pour mieux aborder des partitions du style classique.
Ceci n’est que mon opinion, mais je vous confirme que j’en suis persuader si vous souhaiter apprendre par la suite plus rapidement vos partitions classiques.
Alors je terminerai en vous indiquant que plus votre enseignant a une expérience musicale assez large, plus il saura vous amener au classique avec des bases plus progressive même si cela paraît paradoxale.
La méthode COLIN sort assez du lot parce qu’elle va assez loin dans le fait de laisser le temps au cerveau d’acquérir un grand nombre de techniques intermédiaires pour vous donner ensuite la possibilité d’apprendre rapidement chaque partition.
Oui, je pense qu’un enseignant du piano classique doit véritablement avoir exploré de nombreux styles de musiques mais également s’être questionné sur différentes techniques progressives afin de vous apporter une vraie logique de progression pour votre apprentissage.

Votre priorité c’est d’acquérir des vrais résultats et d’être motivé(e) par la pédagogie du professeur

Quelles sont les qualités d’une bonne pédagogie ?

– Avoir des directions précises.
– Respecter les promesses.
– Mettre au centre les résultats de l’élève non pas faire des démonstrations de compétences.
– Pour l’élève, le plus importants ce sont ses propres résultats.
– La pédagogie ne doit pas seulement enseigner des astuces mais apporter chez l’élève, des vraies compréhensions dans sa progression.
– Cela signifie que le plaisir du résultat devra être accompagné par une vraie compréhension du cheminement.

Est-ce que le programme est important?

En fait, juste avant le fait de savoir bien expliquer avec des étapes logiques, le professeur doit savoir où il va, c’est à dire où il veut emmener l’élève.
Le chemin à suivre va donc s’appeler « programme ».

Sans un programme bien conçu, même avec un enseignant qui joue très bien et qui explique très bien, vous n’avez pas la garantie d’acquérir des bons résultats si le programme proposé est mal conçu. Vous allez me dire que ce serait très étonnant avec ces deux importantes qualités citées précédemment.
Et pourtant, c’est très courant et sans exagérer, c’est rare que le programme soit réellement efficace. La raison est très simple, souvent les livres sont très souvent les mêmes, les techniques n’ont pas le temps d’être exploitées assez profondément et cela donneet qui en même temps est très patient et compétent pour bien expliquer

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Pourquoi le résultat ne suffit pas ?

En musique, si vous apprenez par exemple par « le par coeur », vous mettrez 4 fois plus de temps pour apprendre une pièce musicale.
Le « par-coeur » est assez limité dans le temps spécialement si on  oublie de pratiquer régulièrement le moreau.
Aussi, apprendre par « le par-coeur » ne vous permettra jamais de prendre une partition utilisant les mêmes techniques car vous n’aurez pas la possibilité de les reconnaître dans une partition.

En revanche, si vous comprenez l’intérêt d’une technique, et que le professeur vous permet de l’exploiter tout de suite dans 6 ou 7 partitions différentes, vous aurez la possibilité d’apprendre encore plus rapidement ces morceaux et surtout de les garder « définitivement » car pour saurez par vous-mêmes  les lire sur une partition.

Une bonne pédagogie doit vous apporter une « VRAIE AUTONOMIE »

Pour acquérir « UNE VRAIE AUTONOMIE », vous devez obligatoirement apprendre avec une pédagogie qui vous permette de comprendre ce que vous faites ressortir musicalement.
Exemple : une mélodie c’est un ensemble de notes avec différents intervalles, des combinaisons souvent construites souvent à l’intérieure d’une gamme, mais également à l’intérieure d’accords.
Ce point n’est pas le plus important pour déchiffrer au départ des partitions, mais pour repérer plus rapidement les combinaisons de notes, oui, pour la suite.
2ème exemple : le rythme des notes, la durée des notes et les combinaisons rythmiques. Par contre, cette partie là est très importante tout de suite pour le déchiffrage de partitions. En effet, plus vous savez reconnaître une suite rythmique au niveau de la mélodie, plus vous êtes apte à respecter la durée des notes quand vous déchiffrez une partition, et plus vite vous comprenez comment la mélodie est construite rythmiquement.

Si vous avez appris par le « par-coeur », vous n’avez pas compris comment est structurée le rythme de la mélodie sauf à l’oreille et vous ne pourrez pas vous servir de cet acquis pour déchiffrer une partition du même type.

Mais le plus dommage, c’est de ne pas gagner du temps pour apprendre des partitions utilisant les mêmes techniques ou les mêmes rythmes si vous n’avez pas conscience réellement de vos acquis.

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Quel est le rôle du programme ?

Si vous apprenez des choses et que vous ne comprenez pas réellement ce que vous avez acquis techniquement, vous ne pouvez pas vous servir de ces résultats pour jouer d’autres partitions, ou en tout cas vous ne décelez pas le plus important, vous vous contentez seulement de jouer une musique sans en garder une expérience intéressante. Aussi, si à chaque fois vous changez complètement de registre, vous n’aurez pas la possibilité de maîtriser vos acquis et du coup, de les reconnaître dans une partition.

Par contre, un bon programme va vous permettre de revoir dans des différents morceaux les techniques déjà acquises.
Le seul fait de ne pas avoir l’opportunité d’utiliser à maintes reprises vos premiers acquis, ceci vous fait perdre énormément de temps quand vous découvrez un nouveau morceau et surtout vous apprenez des partitions sans pouvoir utiliser le plus important technique pour en jouer d’autres.
Comment savoir si cela va fonctionner ?
Mais parfois, cassez le rêve de quelqu’un est encore plus grave, car plus l’espérance est puissante, plus la déception l’est également.
Vous devez connaître les objectifs de l’enseignant, savoir si vous êtes en encore avec les buts qu’il propose et surtout pouvoir lui  faire confiance pour réussir à atteindre les objectifs.

La pédagogie c’est tout d’abord « apporter avec le coeur » et souhaiter faire de son mieux pour transmettre et trouver les solutions les meilleurs pour les personnes à qui on enseigne.
Le pédagogue doit être votre meilleur entraîneur pour vous permettre de vous « dépasser ».
Quand on pense « sport », comme par exemple « le tennis », le champion a besoin du meilleur entraîneur.
Celui qui peut gagner les matchs c’est évidemment le champion mais celui qui peut l’amener à cela ne peut pas être simplement ou oblgatoirement un autre champion, car l’idée n’est pas de prouver que l’on peut réussir à gagner, mais de réussir à faire gagner un autre champion, c’est toute la différence.

En musique c’est pareil, il ne suffit pas que la personne qui vous enseigne soit experte dans son art, il faut aussi, et surtout qu’elle soit experte pour savoir vous le transmettre.
Savoir enseigner c’est d’une part apporter régulièrement des résultats qui motivent et d’autre part, ne jamais obliger les objectifs recherchés.
Si l’enseignant n’a pas un programme éprouvé, il oubliera obligatoirement des clefs importantes qui vous empêcheront soit de continuer toujours avec plaisir, soit d’atteindre réellement les sommets les plus hauts.
Alors vous me direz peut-être que vous ne souhaitez pas forcément atteindre les sommets les plus hauts, mais en même temps temps vous ne voulez pas dès le départ, ni vous limiter, ni penser que bientôt vous serez coincé(e), impossible d’évoluer davantage et surtout que vous n’aurez jamais une « AUTONOMIE » intéressante que ce soit en déchiffrage de partitions ou en créativité musicale.
Quand vous verrez des réels progrès, votre curiosité ne va pas se limiter, et le rôle de l’enseignant est de vous apporter une vraie « CONFIANCE DANS VOS PROGRÈS » afin de vous donner l’envie d’explorer de plus en plus dans votre art. La méthode COLIN a ce rôle très important justement de ne jamais limiter votre curiosité mais au contraire de vous surprendre dans vos possibilités à progresser rapidement et surtout à « éclater » dans des styles que vous n’auriez jamais pensé abordé avec autant de plaisir. La musique c’est un art, et en même temps c’est comme un plat que l’on n’a pas encore goûté et plus on essaie de plats, plus on peut se laisse surprendre.
La méthode COLIN est très riche et vous serez surpris(e) par vos résultats quelque soit au départ votre expérience ou vos capacités. Faire le choix d’une progression de qualité avec des étapes éprouvées, c’est se donner aussi une véritable chance pour vivre « la passion du piano ».

Exemple concret :
en pédagogie, il suffit de manquer de certaines clefs soit pour vous démotiver,
soit pour mettre en situation d’échec à un certain niveau.

Souvent à l’école,  en tout cas autour des années 1975, 1980, la majorité des élèves de seconde ou de première qui avaient suivi des cours d’anglais depuis la 6ème, avaient réellement du mal à converser en anglais même s’ils obtenaient des bonnes notes.
Le problème, n’était pas le nombre d’élèves dans chaque classe, mais bien le programme avec les exigences du professeur qui ne correspondaient pas toujours aux réels solutions à apporter pour développer des vrais réflexes.
Le 1er point à améliorer c’était la motivation et le 2ème, savoir apporter une vraie progressivité avec des objectifs pratiques et concrets.
Un élève ne retient pas grand chose quand il ne sait pas comment appliquer et un professeur ne doit pas enseigner en oubliant qu’une des priorités c’est d’apporter chez l’élève  » une vraie AUTONOMIE ».
Voici deux points clefs :
1) apporter chez l’élève des résultats concrets réguliers afin de garder en tête que la motivation chez celui-ci, c’est le 1er moteur.
Si l’élève n’est pas motivé, s’il n’y a pas de résultats réguliers, s’il y a des progrès mais que l’élève ne les perçoit pas, s’il ne comprend pas l’utilité de sa progression, rien ne sera possible car la base, c’est d’apporter l’envie de découvrir, l’envie d’apprendre.
2) démontrer régulièrement que l’objectif c’est de devenir « Autonome » et qu’effectivement c’est l’objectif de son apprentissage.
Je le dis clairement, si ces deux points sont oubliés par le professeur, il est préférable qu’il change de métier pour l’intérêt de ses élèves.

Exemple personnel
A l’âge de 15 ans je m’essayais tout seul au jazz et en même temps des amis m’apportaient quelques conseils.
Je vais vous raconter ma première rencontre avec mon 1er professeur de jazz au piano.

C’était ma première leçon avec ce pianiste de jazz.

J’avais 16 ans et j’ai demandé à ce professeur de jazz qui m’impressionnait quand il jouait:

 » En combien de temps, pourrais-je jouer comme vous ? »
Il me regarde droit dans les yeux avec une grande certitude:
« Jamais ! » et il se met à rire en insistant bien sur un point important, « comment pourrais-tu atteindre cette expérience, j’ai 58 ans, c’est l’expérience de toute une vie, j’ai enseigné le classique au conservatoire,
et j’enseigne le jazz depuis 15 ans ! »
Alors, je lui réponds: « cela signifie que même en 4 ans je ne pourrais pas jouer du jazz comme vous en suivant vos cours ? »
Il me réponds: « même en 10 ans ce n’est pas possible ! »
J’ai suivi des cours avec lui durant deux années, je suis allé ensuite dans une école de jazz durant 3 ans.
Je suis allez le voir jouer dans un jazz club, il continuait à m’impressionner mais je comprenait mieux ce qu’il jouait.
J’ai continué à progresser, et à l’âge de 26 ans je suis retourné le voir jouer dans ce même jazz club tous les vendredi soirs pendant un mois, et là je peux vous dire, qu’il ne m’impressionnait plus.
Je pouvais jouer les standards qu’il reprenait et très sincèrement, j’avais la conviction que je pouvais davantage créer d’autres variations par rapport à son style dont à la fin je trouvais un peu « monotone ».
Je me suis dit : « heureusement que je n’ai pas continué avec lui, je me serai très vite limité ».

Mais pour vous dire, cette réponse ; « jamais », m’a pas mal traumatisé et je garde en mémoire le ton de sa voix et son expression ironique, son regard etc. Un enseignant doit apporter l’espoir et doit surtout tout faire pour apporter un nombre illimité de clefs.
Rien est impossible quand les messages sont bien donnés, quand les étapes sont pratiques et facilement mémorisables, quand on ne progresse pas des morceaux longs à apprendre etc.
La différence dans votre progression ce n’est pas qualité du musicien qui est à côté de vous, mais la qualité de son programme.
La méthode COLIN fait beaucoup mieux car vous n’avez besoin de personne et surtout, le responsable de votre progression c’est moi-même non pas quelqu’un qui déformerait les étapes ou l’ordre des morceaux.
Vous avez les conseils pour vérifier votre progression et c’est moi-même qui vous les donne.
Tout est vérifiable durant votre progression, doigté, position des doigts, vitesse d’exécution, amélioration de l’interprétation et même la direction de votre regard sur des moments précis.
La méthode COLIN vous enseigne les étapes « au pas à pas », le CD vous répète régulièrement les points importants à respecter, et le programme vous permet d’apprendre chaque morceau en 45 minutes des deux mains, en suivant la vitesse demandée et en suivant des yeux la partition.
Le côté très exceptionnel c’est le nombre de morceaux que vous pourrez apprendre en peu de temps.
Le côté le plus passionnant, c’est que vous pouvez progresser à haut niveau dans les styles et acquérir une réelle autonomie en déchiffrage de partitions, en créativité (improvisation et composition), en accompagnement de tous styles, en connaissances musicales, au niveau de l’histoire de la musique aussi bien en classique, en jazz ou autres styles. Oui, les élèves de la méthode COLIN deviennent des musiciens « libres de jouer dans n’importe quel style » et en même temps découvrent à partir de la série 6 et surtout à partir de la série 7 l’histoire de la musique en générale.
La méthode COLIN n’a rien à cacher et surtout tout à faire découvrir même les secrets dans des grands musiciens.

 

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